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Dernière modification: 2019-09-19
Sorel-tracy, Montréal, Québec, Canada
No de la discussion122955
Discussion
Ghislain Martel
Superviseur des opérations pour Quarkus Media
Les ravages de l'obscurantisme: La greta africaine et l'extermination d'un peuple
Les ravages de l'obscurantisme: La greta africaine et l'extermination d'un peuple
Il aura fallu aux colonisateurs occidentaux de convaincre une enfant qu'elle devait alerter ses semblables de tuer tout le bétails, que leur salut en dépendait et la superstition a fait le reste. Les colonisateurs ont pris le contrôle des terres de ces tribus. Ça c'est ma supposition.

Maintenant, l'importance de combattre les superstitions, l'hystérie collective et les illusions - ce qu'est la devenue la lutte effrenée aux changements climatiques - va de soi!

Connaissez-vous Nongqawuse (à droite sur la photo)?
Aujourd'hui on l'appelle la Greta africaine...

Voici son histoire, racontée dans les premières pages du livre de François Gervais "L'urgence climatique est un leurre". Une histoire triste où l'hystérie superstitieuse l'a emporté sur la raison!

La tragédie date de l'ère de la colonisation de l’Afrique du Sud par les Britanniques. Les Xhosas étaient la seconde peuplade de la région après les Zoulous. Ils résistèrent aux colonisateurs mais subirent plusieurs défaites. Ils finirent par développer un sentiment d’infériorité. Cette situation émotionnelle se révéla par la suite éminemment propice à la propagation d’une prophétie. Une fille de 15 ans, Nongqawuse, prétendit avoir entendu une voix lui dire que les Xhosas devaient tuer tous leurs bovins, cesser de cultiver leurs champs, détruire leurs céréales et autres aliments, et même démolir leurs instruments agricoles. Elle prétendait qu’une fois ce sacrifice accompli, la magie ferait naître une nouvelle ère d’abondance, plus prospère, et que l’ancienne gloire des Xhosas serait restaurée. Les guerriers tués dans les combats se relèveraient de leurs cendres et rejetteraient les Britanniques à la mer.
En l’occurrence, Nongqawuse réussit à convaincre son oncle Mhlakaza, sorcier de son état. D’autres versions prétendent que c’est le sorcier qui aurait influencé sa nièce. Toujours est-il que Mhlakaza devint le chef du mouvement d’extermination du bétail. Il finit par persuade...

(Suite...)

Il aura fallu aux colonisateurs occidentaux de convaincre une enfant qu'elle devait alerter ses semblables de tuer tout le bétails, que leur salut en dépendait et la superstition a fait le reste. Les colonisateurs ont pris le contrôle des terres de ces tribus. Ça c'est ma supposition.

Maintenant, l'importance de combattre les superstitions, l'hystérie collective et les illusions - ce qu'est la devenue la lutte effrenée aux changements climatiques - va de soi!

Connaissez-vous Nongqawuse (à droite sur la photo)?
Aujourd'hui on l'appelle la Greta africaine...

Voici son histoire, racontée dans les premières pages du livre de François Gervais "L'urgence climatique est un leurre". Une histoire triste où l'hystérie superstitieuse l'a emporté sur la raison!

La tragédie date de l'ère de la colonisation de l’Afrique du Sud par les Britanniques. Les Xhosas étaient la seconde peuplade de la région après les Zoulous. Ils résistèrent aux colonisateurs mais subirent plusieurs défaites. Ils finirent par développer un sentiment d’infériorité. Cette situation émotionnelle se révéla par la suite éminemment propice à la propagation d’une prophétie. Une fille de 15 ans, Nongqawuse, prétendit avoir entendu une voix lui dire que les Xhosas devaient tuer tous leurs bovins, cesser de cultiver leurs champs, détruire leurs céréales et autres aliments, et même démolir leurs instruments agricoles. Elle prétendait qu’une fois ce sacrifice accompli, la magie ferait naître une nouvelle ère d’abondance, plus prospère, et que l’ancienne gloire des Xhosas serait restaurée. Les guerriers tués dans les combats se relèveraient de leurs cendres et rejetteraient les Britanniques à la mer.
En l’occurrence, Nongqawuse réussit à convaincre son oncle Mhlakaza, sorcier de son état. D’autres versions prétendent que c’est le sorcier qui aurait influencé sa nièce. Toujours est-il que Mhlakaza devint le chef du mouvement d’extermination du bétail. Il finit par persuader le roi Sarhili. Dans un acte symbolique, le roi tua son bœuf favori. L’hystérie s’étendit. Certains prétendaient voir les ombres des guerriers morts surgir de la mer. Les gens s’aveuglaient et se trouvaient des preuves à l’appui de ce qu’ils voulaient désespérément voir devenir la réalité. Le bétail fut massacré à un rythme tel que même les vautours n’avaient plus le temps de le dévorer. La résurrection des morts était prévue par la prophétie lors de la pleine lune de juin 1856.

Évidemment rien ne se produisit. Qu’à cela ne tienne, elle fut de nouveau annoncée par le grand sorcier Mhlakaza comme devant se réaliser 2 mois plus tard. Toujours rien n’advint. On imputa donc l’échec de la prophétie à une extermination incomplète du bétail. On avait gardé quelques vaches laitières. Une petite minorité d’incroyants avait refusé de tuer son bétail. Plusieurs fois reportée tout au long d’une année entière, la résurrection resta un fol espoir aux antipodes de la dure réalité.
L’échec répété ne pouvait que signifier le manque de foi des Xhosas qui n’avaient pas tué tout le bétail. Non seulement on l’abattit jusqu’au dernier mais avec lui les poules et les chèvres pour faire bonne mesure. Toute nourriture avait disparu au printemps 1857. La disette s’installa. Rendus fous par la faim, certains des Xhosas devinrent cannibales. La population mourut de la famine ou, trop affaiblie, de la maladie. Les croyants mouraient en accusant les incroyants d’être la cause de l’échec de la prophétie. Ils accusaient aussi les rares missionnaires installés depuis peu. Eux aussi avaient gardé leur bétail. Un quart seulement de la population avait survécu un an plus tard. Ce que 50 ans de conquêtes armées et de guerres coloniales britanniques n’avaient pu réussir, seulement deux années d’une croyance religieuse mystique et fanatique l’offrirent aux colonisateurs sur un plateau d’argent. Les Britanniques s’installèrent et trouvèrent chez les survivants xhosas une main-d’œuvre docile et efficace.

Vous pouvez consulter le livre de François Gervais en ligne, ici :

(Reduire...)



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Belle analogie entre cette histoire et celle de la jeune Greta dont les extrémistes se servent pour faire avancer leur cause. Sans-doute frustrés de voir le peu de progrès réalisés depuis la signature du Protocole de Kyoto en 1997 et les nombreuses conférences (COP) qui ont suivie, se pourrait-il que les projections et conséquences aient été exagérées afin de créer un état d'urgence et un certain "climat" de panique pour réussir à faire bouger les choses? On sait aussi que personne n'est jamais pressé à changer ses mauvaises habitudes, à sacrifier son petit confort et à accepter des changements trop contraignants... Les humains étant par ailleurs des êtres souvent très émotifs et peureux, se pourrait-il que le GIEC et les extrémistes exploitent ces faiblesses humaines pour nous pousser à réagir plus rapidement et à suivre bêtement le mouvement comme des moutons? AGISSONS pour mieux protéger notre environnement et atténuer les effets des changements climatiques mais faisons-le méthodiquement, avec pragmatisme et réalisme, sans tomber dans la panique et l'hystérie collective. Qu'en pensez-vous?



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